Interview réalisée en exclusivité pour LeBrol.com.

Caroline, plus connue sous le nom de La Belge Maléfique, fait partie de ces créatrices de contenu qui marquent par leur humour, leur franchise et leur énergie contagieuse. À 45 ans, cette maman carolo revendiquée comme telle s’est fait une place remarquée sur les réseaux sociaux, sans même l’avoir vraiment planifié.

« Moi c'est Caroline, alias La Belge Maléfique. Créatrice de contenu, maman, Carolo et très fière de l'être. »

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Un pseudo devenu signature

À ses débuts, Caroline utilisait le pseudo Mal3fici3ent. Mais face à la croissance de son compte, d’autres créateurs lui soufflent qu’il lui faut un nom plus impactant.

« Comme je suis Belge, mais aussi maléfique, je suis devenue La Belge Maléfique. »
Une identité forte, qui fait sourire… et que certains abonnés transforment gentiment en La Belge Magnifique.

Une aventure née du confinement

Comme beaucoup, Caroline s’ennuie pendant le confinement. C’est sa fille qui lui propose d’essayer TikTok. Sans grande conviction, elle se lance… et découvre sans le prévoir un espace d’expression, de partage, et une communauté qui grandit très vite.

« Je vivais cette aventure au jour le jour. Je tente, j’ose, parce que je sais que demain tout peut s’arrêter. »

Un contenu à la fois drôle… et utile

Sur ses réseaux, Caroline mise sur l’humour et l’autodérision. Mais elle aborde aussi des sujets plus personnels, notamment liés à sa santé, avec un impact réel sur celles et ceux qui la suivent.

« J’aime donner le sourire et aider les autres. Ma source d’inspiration, c’est ma communauté. »

Charleroi, un ancrage et une fierté

Caroline revendique haut et fort ses racines carolos.

« On parle souvent mal de Charleroi, pourtant on a beaucoup d’humour et de talents. Je suis fière d’en parler en positif… avec autodérision aussi. »

Elle défend également sa scène culturelle, qu’elle considère vivante et créative, du PBA à l’Eden en passant par les musées et festivals.

Notoriété : entre amour et critiques

Son entourage la soutient, même si l’exposition n’a pas toujours été simple, notamment pour sa fille. Quant au revers de la médaille, Caroline ne le cache pas : les critiques et les attaques sont fréquentes.

« Les haters peuvent être d’une méchanceté sans nom. Mais ma fille m’a fait comprendre que j’étais plus forte qu’eux. »

Aujourd’hui, elle avance portée par l’affection de sa communauté.

Spontanéité et authenticité

Si certains contenus sont préparés, la grande majorité reste spontanée.

« Les trois quarts du temps, j’improvise. Et même quand je prépare, j’improvise quand même. »

Ce qu’elle veut laisser comme trace

Caroline espère que l’on retiendra d’elle sa force et son énergie positive.

« J’aimerais qu’on se dise que je suis solaire, good vibes, et que je n’ai jamais baissé les bras. »

Et la suite ?

Agenda chargé, collaborations, marchés, foires… mais aussi un projet plus intime.

« J’ai le projet fou d’écrire un livre. Et j’ai repris des études d’assistante dentaire. »

Et un rêve assumé :

« J’aimerais avoir ma chronique ou bosser à la télévision. Je travaille pour y arriver. »

Entre humour, résilience et amour de sa ville, La Belge Maléfique continue de tracer son chemin, avec une authenticité qui séduit de plus en plus.

Affaire à suivre… et bizou au chat 

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