Levée partielle des restrictions
La cour d’appel de Celle a « partiellement annulé l’une des obligations imposées à M. Brückner, selon laquelle il devait fixer sa résidence en Allemagne », a indiqué dimanche une porte-parole. Cette décision, datée du 28 octobre, modifie les conditions de surveillance de l’Allemand de 45 ans, libéré le 17 septembre après avoir purgé sept ans pour le viol d’une Américaine en 2005 au Portugal.
Une liberté surveillée très encadrée
Brückner, considéré comme « foncièrement dangereux » par le procureur allemand, devait jusqu’ici porter un bracelet électronique, obtenir l’accord du tribunal pour tout changement de domicile et rester en Allemagne. Depuis sa libération, il vit sous surveillance policière, dans une tente à Kiel, au bord de la mer Baltique.
Vers un départ possible
Avec cette décision, le tribunal devra réexaminer sa domiciliation, et Brückner pourrait bientôt quitter l’Allemagne. Dans des propos au Daily Mail, il a confié : « Il s’avère que je n’ai même pas besoin de rester en Allemagne. Et dès que j’aurai réuni un peu d’argent, je partirai ».
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