Une peur qui naît de l’ignorance

L’homophobie n’est pas toujours de la haine ouverte.

Souvent, elle vient de la peur de ce qu’on ne connaît pas.

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Des préjugés transmis, des clichés non remis en question… et, au fond, un malaise face à ce qui sort de la norme imposée depuis des générations.

Une société encore marquée par les stéréotypes

Même si les mentalités évoluent, certains clichés persistent :

> “C’est contre nature.”

“C’est une phase.”

“Il faut penser aux enfants.”

Ces phrases, souvent dites sans méchanceté apparente, font pourtant du mal. Elles renvoient le message que certaines formes d’amour valent moins que d’autres.

Le poids du regard social

Pour beaucoup de personnes LGBTQIA+, le coming out reste un moment de tension.

> “Et si on me juge ? Et si je perds mes amis, ma famille ?”

La peur du rejet pousse parfois au silence, à la dissimulation, voire à la honte de soi.

Mais l’amour n’a pas besoin d’autorisation.

L’importance de l’éducation et du dialogue

C’est dès l’enfance qu’on peut briser le cycle : en parlant d’amour, de respect et de diversité.

Apprendre à voir la différence comme une richesse, et non comme une menace, change tout.

L’école, les médias, les familles ont tous un rôle à jouer.

Aimer sans peur, aimer librement

Aimer, c’est humain. Point.

Chacun devrait pouvoir vivre son identité et ses sentiments sans se cacher, sans se justifier.

Le combat contre l’homophobie, c’est celui du respect, de la liberté et de l’amour — tout simplement.

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