Des siècles de silence et de morale
Pendant longtemps, la sexualité a été un sujet contrôlé par la religion, la société et les traditions.
On a appris à l’associer à la honte, au péché, ou au devoir conjugal. Résultat : beaucoup ont grandi avec l’idée que le plaisir était quelque chose dont il fallait se méfier.
Les stéréotypes de genre, toujours présents
Même en 2025, certains clichés persistent :
les hommes seraient toujours partants,
les femmes, plus réservées,
les couples homosexuels, “différents”.
Ces fausses croyances façonnent encore notre manière d’aimer et de désirer, souvent sans qu’on s’en rende compte.
Les médias et la culture populaire
Séries, films, réseaux sociaux… ils influencent notre vision du “sexe parfait”.
Des corps idéalisés, des performances irréalistes, des scénarios sans émotions : tout ça crée des attentes irréalistes. Et quand la réalité ne ressemble pas à l’écran, certains doutent d’eux-mêmes.
Le poids du regard des autres
Parler de sexualité, c’est s’exposer à être jugé.
On a peur d’être catalogué, de “trop en dire”, de ne pas être “normal”.
Mais la vérité, c’est qu’il n’existe pas une seule manière d’aimer ou de désirer.
Déconstruire pour mieux vivre sa sexualité
La clé, c’est de questionner ce qu’on nous a appris, de se détacher des normes et de se réapproprier son corps.
Parce qu’une sexualité épanouie ne se définit pas par la performance, mais par la liberté, la communication et le respect.
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