Trois jours d’arrêt des activités

Les étudiants et certains membres du personnel ont déclenché un arrêt des cours et des services ce lundi, qui se poursuivra jusqu’à mercredi. Des ateliers, débats et événements culturels sont organisés pour mobiliser les participants et soutenir les actions revendicatives.

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Une action coordonnée avec le front commun syndical

Cette mobilisation s’inscrit dans le cadre de la grève nationale du front commun syndical du 24 au 26 novembre. Différents collectifs étudiants — dont l’Union Syndicale Étudiante, Librex et le Cercle Féministe — ainsi que des enseignants et du personnel de nettoyage, participent au mouvement, appelant à la solidarité sur le campus.

Un rassemblement pour dénoncer les réformes

Les manifestants estiment que les nouvelles réformes touchent l’éducation, le social et le travail, mais aussi la politique migratoire. Selon eux, les mesures gouvernementales impactent toutes les catégories de la population, et il est nécessaire de s’unir pour les contester collectivement.

Des revendications étendues et solidaires

Les participants réclament un accès gratuit et équitable à l’enseignement, la protection des droits sociaux et des pensions, une réduction du temps de travail, ainsi qu’un traitement digne du personnel de nettoyage. Le mouvement inclut également une dimension internationale, dénonçant l’impérialisme et les violences structurelles dans le monde.

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